Depuis la rentrée sociale, et après les fêtes de l’Aïd El Fitr, la circulation est bien plus difficile… Les files d’attente se sont à nouveau formées aux accès d’entrée d’Annaba. Au niveau du centre-ville, toutes les grandes artères sont bloquées et la circulation est devenue très dense, à tel point que pour faire une rue ou avenue, il faudra patienter au moins une heure. Dès huit heures, les routes sont déjà fréquentées. « Le retour au boulot s’avère plutôt difficile et synonyme de cauchemar juste en pensant aux bouchons qui nous guettent sur les routes ». «Comme c’est le premier jour de la reprise, déjà je suis sorti un peu plus tôt que d’habitude et j’ai repris le chemin par des raccourcis pour arriver à l’heure à mon bureau», nous a expliqué un citoyen.”Notre ville est devenue invivable. Elle est surpeuplée pour sa superficie. Il est devenu très difficile de circuler dans cette ville en véhicule» selon l’avis d’un taxieur. Des bouchons sont signalés de partout, précisément en journée dans les différents tronçons routiers, selon un employé qui se rend quotidiennement au centre-ville.
Sara.Y