L’ambassadeur d’Algérie en France, Antar Daoud, pleinement impliqué dans la reprise des vols entre l’Algérie et la France suite à la décision du Conseil des ministre, le semaine dernière, a reçu des représentants de la Communauté nationale en France qui lui ont fait part de leurs interrogations et surtout leurs craintes par rapport à la problématique des tarifs, à l’aune des rumeurs sur les réseaux sociaux et les risques bureaucratiques qui pourraient surgir face à une faiblesse de l’offre de sièges.
Dans une déclaration à la télévison publique, à l’issue de cette réunion, l’ambassadeur a rappelé que dans une première phase la reprise des dessertes sera limitée à 5 vols quotidiens, à partir des aéroports de Paris, Marseille et Lyon vers Alger , Oran et Constantine.
Et en fonction de la situation épidémiologique, d’autre liaisons à partir des villes de Lille, Toulouse, Nantes, seront ouvertes vers les aéroports d’Alger , Oran , Constantine, Tlemcen, Annaba et Béjaia.
En attendant la date du 1er juin, Air Algérie, qui voit dans cette reprise une bouffée d’oxygène, s’y prépare pour être au rendez-vous , avec des réunions marathon en vue de coordonner avec tous les services techniques et administratifs concernés, comme Amine Andaloussi , le responsable de la Communication qi s’est exprimé dans le média.
Et à propos de la question des tarifs quia embrasé la Toile depuis l’annonce de la reprise des vols, il a démenti les rumeurs sans donner plus de précisons, ajoutant à propos du dispositif de contrôlez médical au niveau des aéroports qu’il relève du ministère de la Santé.