La région d’Annaba connue par son taux pluviométrique de plus salvateur et les pluies diluviennes qui s’abattent à chaque saison hivernale sur la ville mettent à nu la défection du système de protection. Cette situation persiste depuis quelques décennies, après la poussée des chantiers de constructions d’habitations, et les détournement même de certains ruisseaux qui traversent la ville, comme c’est le cas par exemple au niveau de la plaine ouest de la ville, bien que plusieurs entreprises aient été dépêchées au cours de cette dernière décennie, mais la défection du système d’évacuation des eaux pluviales restent encore posées en raison de multiples causes. Preuve en est, il y a deux années seulement l’Oued, situé au pied du mont de Bougantass a déversé ses eaux sur la cité du 5 juillet (Hongrois) jusqu’à dans les cités de la plaine Ouest à cause d’une part de l’obstruction du canal de ceinture de la protection de la cité 5 juillet par les travaux des chantiers de projets de réalisation des logements dans la vallée et aussi à cause de l’ancien barrage datant de l’ère coloniale tombé en ruine. Pour lutter contre ces inondations qui agacent, à chaque période des pluies, les riverains. Le Wali Djamel Eddine Berrimi a annoncé, samedi passé, qu’une enveloppe conséquente de plus de 600 milliards cts a été dégagée pour la réalisation de cet important ouvrage hydraulique d’une capacité de 1 million de mètre cubes d’eau . » a-t-il indiqué
Tayeb Zgaoula
