Toutes les discussions des citoyens Annabis, comme certainement partout ailleurs à travers le pays, tournent aujourd’hui autour de ce sujet d’actualité se rapportant au changement politique, opéré par le président de la république Abdelmadjid Tebboune. Cette décision politique coïncide avec le 2ème anniversaire du mouvement pacifique du hirak du 22 février. En effet dans la rue, les cafés, les placettes publiques, le cours de la révolution fief des partisans politiques, on parle de la dissolution de l’APN et du remaniement partiel du gouvernement opéré par le Président de la république Abdelmadjid Tebboune. Ainsi, aussi bien pour le simple citoyen, universitaire, ou homme politique, cette prise de décision intervient dans une conjoncture politique décisive de changement et de réorganisation visant les prochaines joutes électorales législatives pour apporter un sang neuf dans les institutions de l’état dont aspire le hirak populaire. Un Hirak qualifié par Ammar Belhimer, ministre de la communication, porte-parole du gouvernement tout à fait légitime à la vie meilleure s’articulant autour d’un processus démocratique basé sur la justice et la légalité » a-t-il indiqué. Certains partisans politiques estiment que le Président Abdelmadjid Tebboune est en train de mettre en place les mécanismes de son système politique visant des changements structurels visant l’unité pour permettre des élections libres et transparentes. Pour des économistes ou des citoyens activant dans le secteur de l’économie, le changement partiel opéré dans la sphère politique par le premier magistrat du pays vise à insuffler une certaine dynamique qui nécessite l’inclusion des valeurs fondamentales visant la nouvelle stratégie socioéconomique.
Tayeb Zgaoula