Les lampes de l’éclairage public existent mais hélas n’éclairent plus et plusieurs quartiers au niveau de certaines localités replongent, dès le coucher du soleil, dans l’obscurité. C’est le cas des habitants de la cité 700 logements à Kharaza qui se voient exposés à de nombreuses contraintes et désagréments, dus au défaut, sinon au faible éclairage public qui perdure depuis plusieurs semaines. La cité est souvent plongée dans le noir. Une situation qui les angoisse, d’où la peur pour eux de se hasarder en famille ou bien de rejoindre leurs domiciles à des heures tardives en soirée, du fait des risques d’agressions nocturnes et des vols particulièrement au niveau de l’entrée principale du quartier. Ne bénéficiant, par contre, d’aucune maintenance voir rarement. Si une lampe est grillée, il faudra attendre plusieurs jours, voire plusieurs semaines, pour qu’elle soit remplacée. Certains luminaires en panne ne sont là que pour le décor, au grand dam des riverains. Dans beaucoup de cas, celles-ci sont imputées à la mauvaise qualité des ampoules. Les moyens humains et matériels affectés à la maintenance du réseau d’éclairage public ne sont pas suffisants; la lumière sécurisante, qui inciterait les gens à sortir la nuit en toute quiétude, est donc absente. Il a été signalé également le mauvais état des routes de cette localité… Celles-ci se trouvent dans un état lamentable, garnies de crevasses, nids-de-poule et autres cratères qui caractérisent l’état de ces routes, notamment au niveau de l’entrée principale de la localité. Les habitants et les automobilistes ont du mal à supporter les désagréments que leur offre l’état défectueux de ces routes. Une dégradation perpétuellement mal vécue par ces derniers, qui ne savent plus à quel saint se vouer. A ce titre, les habitants de la cité sollicitent une intervention urgente des autorités locales concernées à l’effet de trouver une solution à leurs préoccupations, particulièrement en matière de sécurité publique.
Imen.Boulmaiz