C’est un phénomène qui ne cesse d’offusquer aussi bien les automobilistes que les habitants de la cité Didouche Mourad ( Ex-Lauriers roses). Une situation qui dure depuis près d’une année, depuis la réalisation des travaux de remplacement des buses d’évacuation des eaux usées. Des crevasses, nid-de-poule et autres fosses caractérisent l’état de ces chaussées, notamment devant la mosquée. Les habitants et les conducteurs de véhicules arrivent mal à supporter le calvaire que leur offre l’état de ces chaussées. Une dégénérescence perpétuellement mal vécue par ces derniers, qui ne savent plus à quel saint se vouer. Ce malaise s’explique par la présence de cratères, à l’intérieur de cette cité qui souffre d’une exécrable prise en charge, malgré les doléances et les requêtes envoyées à qui de droit, demeurées sans effet, hélas aucune prise en charge n’a été entamée. Une situation péniblement ressentie par les automobilistes qui, de peur d’endommager leurs véhicules, sont obligés de faire tout le temps des manœuvres et des acrobaties, parfois dangereuses, afin d’éviter d’éventuels accidents. Les piétons et les habitants de cette cité ne sont pas en reste puisqu’ils doivent subir, à la fois, les manœuvres des conducteurs de voitures et différents autres engins ainsi que les flaques d’eau, puisque le chemin que nous empruntons quotidiennement est dans un état déplorable. Une chaussée devenue impraticable et non carrossable. La réfection du bitumage de cet axe routier est plus que jamais nécessaire, car celle-ci en devenant carrossable facilitera la tâche aux écoliers qui ont toutes les peines du monde pour se rendre et revenir de l’école.
Imen.B