ANNABA : 16ème salon international des équipements des technologies et des services de l’eau (SIEE) L’Université Badji Mokhtar lauréate du concours national sur les procédés innovants de filtration des eaux usées

D’aucun ne vous dira aujourd’hui le contraire que l’Université Badji Mokhtar d’Annaba a fait au cours de ces dernières années un bond significatif dans la recherche scientifique en multipliant les concours et les manifestations scientifiques, notamment dans l’innovation pour être au diapason des grandes universités d’outre-mer. Cette institution participe pratiquement à un grand nombre d’évènements à caractères socioéconomique entrant dans le cadre du programme des reformes du développement économique du pays. Ainsi dans le cadre des politiques de mise à niveau et de recherche scientifique, l’université Badji Mokhtar de Annaba (UBMA) a réussi à décrocher le premier prix du projet de récupération des eaux usées et déchets agricoles pour produire une eau propre à l’irrigation à l’occasion de la tenue de la 16ème édition du salon international des équipements, des technologies et des services de l’eau (SIEE). Pollutec organisé par l’agence nationale de gestion intégrée des ressources en eau (AGIRE) en partenariat avec l’agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et du développement technologique (ANUREDET) sous la thématique  » La recherche scientifique au service de l’eau », selon APS qui se tient à Alger du 27 au 30 septembre. Ce projet innovant a été présenté par Docteur Khaouter Kerboua de l’Université Badji Mokhtar. Selon l’initiatrice il permet de réduire de 40% le carbone provenant de la décomposition naturelle des déchets organiques et autres déchets contraignants.

Le 2ème prix de l’innovation a été remporté par le laboratoire de l’Université de l’Oued d’exploitation et de valorisation des ressources sahariennes. Quant au 3ème prix, il a été décerné au département de l’environnement de Constantine. Enfin en guise de conclusion Etant donné le rôle que joue l’Université Algérienne d’une manière générale dans le domaine scientifique d’une part et dans la mise en œuvre des politiques de relance et de réformes, il va de soi que les compétences doivent suivre dans la formation et la construction de la nouvelle Algérie dont tous Algériens aspirent.

Tayeb Zgaoula

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