ANNABA/ : CHU IBN ROCHD Face aux conséquences de la Covid-19, le staff médical sur tous les fronts

Malgré la crise sanitaire majeure qui a frappé l’Algérie à l’instar des autres régions du monde, depuis près d’une année, le système sanitaire algérien a réussi jusqu’ici à tenir bon. Ainsi à Annaba, le CHU d’Ibn Rochd est un exemple élogieux de l’efficacité réactionnelle des structures médicales opérationnelles qui font face aux effets néfastes de la pandémie. Le CHU d’Ibn Rochd  a  été à cheval tout le long de cette période critique, grace au potentiel de prise en charge médicale, son personnel qualifié, médecins, infirmiers et paramédicaux. Le secteur médical a fait face aux flux incessants des patients, qui prenaient d’assaut chaque jour les services de cet établissement hospitalo-universitaire. La direction a mis en place tout le nécessaire pour répondre aux besoins des malades venus des quatre coins de la wilaya afin de leur offrir les meilleurs soins personnalisés et adaptés à chaque patient. Selon un médecin généraliste exerçant au niveau du CHU « Les services des établissements hospitalo-universitaires sont le fruit d’un travail de longue haleine « Un exemple de modèle de la santé publique » avait-il déclaré tout en soulignant que la politique des structures sanitaires est de « soulager les patients et de les prendre en charge de manière convenable ». Il a été constaté avec satisfaction que beaucoup de moyens humains et matériels ont été mobilisés afin de répondre aux besoins des malades. Egalement pour les citoyens rencontrés occasionnellement sur les lieux lors de notre enquête journalistique les mêmes témoignages reviennent en force.  Certes subsistent évidemment quelques insuffisances dans la prise en charge des différentes pathologies et la gestion sensible et surhumaine des services d’urgences notamment la nuit affirment-ils mais d’une façon générale le CHU d’Ibn Rochd a été à l’hauteur d’un travail colossal reconnu dans son fonctionnement dans tous ces aspects médicaux-universitaire. Un sacrifice que certains l’ont payé de leur vie lors de l’exercice de leur métier de médecin, d’infirmier ou d’agent paramédical  en secourant des gens en détresse rappelle  un haut cadre de la santé.

 

 

IMEN.Boulmaiz

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