Ce jour que nous vivons aujourd’hui dans cette Algérie ensoleillée d’un mois du 24 février clément, c’est un jour historique parmi tant d’autres qui ont marqué la vie de l’Algérie et son indépendance économique. En effet, le 24 février 1971, feu le Président Houari Boumediene a décidé la nationalisation des hydrocarbures dans une déclaration forte d’émotion. La nouvelle oh ! Combien joyeuse a été perçue par tous les Algériens, notamment les travailleurs de Sonatrach de la pétrolochimie et de la Sidérurgie. Une action de justice pour un état souverain qui a récupéré ses biens. Aujourd’hui, la nouvelle Algérie de Abdelmadjid Tebboune marque une halte pour un nouvel élan par le labeur dans le sillage de l’indépendance économique. La génération de cette époque, Hocine, Djeloul et Aziz d’anciens responsables du secteur engrais et de la pétrochimie se remémorent toujours ces moments forts avec une grande fierté. » C’est une date symbolique. Houari Boumedienne a laissé un pays debout par ses infrastructures et sa jeunesse « reconnaissent les anciens travailleurs de l’époque. Aujourd’hui, l’Algérie nouvelle connait sous l’impulsion du président Abdelmadjid Tebboune un nouvel élan économique pour garantir les moyens nécessaires visant l’indépendance alimentaire et par-delà économique. En effet, tous les programmes du gouvernement lancés à travers les réunions sont basés sur la production et l’amélioration constante des produits nationaux et aussi par de nouveaux mécanismes mis en place et des facilitations accordées par l’état pour booster les opérateurs économiques, Start-ups et autres partenaires internationaux désirant s’implantés en Algérie dans une volonté commune fondée sur un esprit de gagnant / gagnant. Aujourd’hui l’Algérie s’ouvre sur le marché extérieur, notamment Africain.
Tayeb Zgaoula