Le jour de la disparition de feu Houari Boumedienne le 2ème président de la république Algérienne, de son vrai nom Mohamed Boukharouba, natif de Ain Hassainia (Hélipolis) dans la wilaya de Guelma en 1932, emporté par une grave maladie dont on n’ignore réellement l’origine qui avait entraîné sa mort le 27 décembre 1978 après 13 ans de règne à la tête du pays, a laissé tout le peuple Algérien dans la consternation et une immense douleur pour celui qui a fait pour eux comme un guide. Le vibrant hommage qui lui a été rendu par la nation entière témoigne de la grandeur de ce président du pays, mais aussi à tous ceux qui ont disparu pour la noble cause pour que l’Algérie retrouve sa souveraineté. Le Rais Houari Boumediene a pour rappel procédé à la nationalisation des richesses locales des hydrocarbures le 24 février 1971. Sur le plan continental, il a occupé le poste de secrétaire général du mouvement des non-aligné en septembre 1973. Pendant son règne il a lancé des grands projets et des programmes de développement tous azimut, telle la révolution industrielle, la transsaharienne, le barrage vert » en un mot laissant le pays en plein essor économique. Le jour de sa disparition, le peuple Algérien a eu le sentiment que tout allait s’arrêter comme une horloge. Un parcours exceptionnel de cet homme qui a fait résonner la voix de l’Algérie dans le concert des nations en annonçant pour la première fois son discours à l’ONU en langue nationale. A Annaba, comme dans tout le pays, les larmes ont coulé car le grand disparu a laissé un héritage à sauvegarder et un pays debout. les événements et les grands chantiers sont toujours ancrés dans la mémoire des travailleurs d’hier qui espèrent que la nouvelle génération reprenne le flambeau sous le règne de la nouvelle Algérie démocratique et de justice de Abdelmadjid Tebboune, dont aspire aujourd’hui tout le peuple Algérien fondée sur les principes idéaux d’hier avec bien sur une nouvelle vision d’aujourd’hui du président, Abdelmadjid Tebboune lequel d’ailleurs, lors de la cérémonie des promotions à l’académie de Cherchell baptisée au nom de Houari Boumedienne a tenu à se recueillir devant la stèle commémorative à la mémoire du disparu. Pour que nul n’oubli. L’Algérie a été depuis des siècles un pays de défit et son peuple reste attaché à son identité et ses convictions. C’est pourquoi aujourd’hui le président Abdelmadjid ne cesse d’appeler les Algériens à serrer les rangs pour travailler ensemble sur le même front pour l’édification d’une nouvelle Algérie démocratique et de justice visant un développement tout azimut à la base de l’émergence et de l’énergie de sa jeunesse créatrice
Tayeb Zgaoula