– Les travaux de 4e session de printemps de l’Assemblée parlementaire de l’Organisation du Traité de l’Atlantique nord (AP-OTAN) qui s’est déroulée par visio-conférence, avec la participation du président de la Commission de défense nationale au Conseil de la Nation, Abdelhak Benboulaid, ont pris fin lundi, indique le Conseil dans un communiqué.
Les participants ont abordé, lors de cette rencontre dont les travaux se sont déroulés du 14 au 17 mai en cours, plusieurs thèmes dont » l’instauration de la sécurité dans la région de la Méditerranée », » les défis économiques internationaux », ainsi que « les défis économiques, politiques et diplomatiques dans le contexte de la pandémie de la Covid-19 ».
A l’occasion, Abdelhak Benboulaid a rappelé dans son intervention, les « mutations démocratiques qu’a connues l’Algérie au cours des deux dernières années », estimant que ceci se veut « l’expression de la vitalité du peuple algérien dans son interaction avec les questions qui portent sur les affaires publiques, dans un élan national sans précédant, ce qui est à même de consolider l’indépendance de la prise de la décision politique et la stabilité du pays ».
Abdelhak Benboulaid a mis l’accent sur » la nature du processus politique emprunté et l’avenir de l’Algérie nouvelle annoncée par le président de la République depuis son accession au pouvoir en décembre 2019, dans toutes ses dimensions et ses mutations politiques et socio-économiques et les transformations prévues dans le contexte des relations extérieures de l’Algérie ».
Pour ce qui est des jeunes, le représentant du Conseil de la Nation a évoqué » les programmes nationaux d’accompagnement des jeunes », d’autant que l’Etat a mobilisé, a-t-il dit, « des montants considérables dans le cadre de l’insertion et de l’incitation des jeunes et d’appui à l’investissement ».
Pour ce qui est de la dimension internationale, M. Benboulaid a estimé que » la stabilité de la région MENA ( Moyen-Orient et l’Afrique du Nord) requiert un engagement ferme à lutter contre le terrorisme et le crime transfrontalier et criminaliser le versement de la rançon et l’extrémisme violent ».