Depuis le début de la crise sanitaire en mars 2019, des décisions ont été prises par les autorités locales, pour restreindre les activités commerciales, en leur imposant un protocole sanitaire strict à suivre, dans le but de limiter le contact des citoyens entre eux en cette période cruciale de crise sanitaire, afin de ralentir la circulation et la propagation du coronavirus et casser la chaîne de contamination.
Cependant, et durant cette période, les cityens ont remarqué qu’un autre mode de commerce s’est renforcé et s’est installé ces derniers temps un peu partout au niveau de la ville, en occupant les rues et se généraliser à tous les quartiers de la ville de Guelma.
Il s’agit bel et bien du commerce informel, en effet, des camionnettes de type CHANA, des camelots, des étalages, ont envahi les rues, les ruelles, les trottoirs, les coins, et particulièrement quelques axes importants menant vers les quartiers de la nouvelle ville, la cité 26 coopératives etc.
C’est le cas aussi du marché illégal qui se trouve entre la cité Khala Sonatiba et le complexe hospitalier mère et enfant, spécialisé dans la réception des malades atteints de la Covid-19.
Ce fléau a perturbé la vie citadine des citoyens, et a suscité des mécontentements auprès de la population Guelmie en causant ; des encombrements et embouteillages routiers, des tapages, des altercations, grande saleté et malpropreté des lieux où ce genre de commerce s’exerçait.
C’est la raison pour laquelle, les citoyens demandent aux autorités locales d’intervenir fermement dans les plus brefs délais, pour mettre fin à ce phénomène qui a non seulement dérangé les citoyens, mai aussi a pourri l’image de la ville en général, en lui donnant un aspect de clochardisation.
Douakha.Z