Les marchands de l’informel, qui squattent, chaque jour, les placettes et les rues du centre-ville sont absents ou pourchassés par les services de la sécurité en matinée, aussi bien des rues Ibn Khaldoun, Mohamed Khemisti, El Qods et tout autour des marchés, Hattab, couvert et les placettes ceinturant le rond points de Stambouli ainsi que d’ autres ruelles du centre-ville au grand soulagement des citoyens, des habitants et des commerçants activant en règle, reviennent cependant au galop l’après-midi pour déverser leurs marchandises sur les trottoirs et les placettes. D’ailleurs une grande partie de leurs marchandises se trouve cachée dans les couloirs des immeubles au passage des services de securité, gênant ainsi considérablement les habitants. Autrefois l’accès à ces immeubles était réglementé. Dans l’après-midi le bazar à ciel ouvert se met alors en activité.au passage des services de sécurité, on joue au chat et à la souris. Il faut dire que l’éradication du marché informel n’est pas pour demain.
Tayeb Zgaoula