Les relations afro-chinoises ont été au centre d’un colloque scientifique organisé, mardi, par la faculté des sciences politiques et des relations internationales de l’Université d’Alger 3, avec la participation d’enseignants et d’experts algériens et étrangers.
A cette occasion, le recteur de l’Université d’Alger 3, Khaled Rouaski a indiqué que l’organisation de cette rencontre scientifique s’inscrivait dans le cadre de » la politique du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, visant à permettre à l’université de s’ouvrir sur tous les acteurs de la société civile ».
Selon le recteur, l’Université d’Alger 3 œuvre à concrétiser cette politique, » en encourageant les laboratoires de recherche agréés à intensifier les activités scientifiques, au profit du milieu universitaire et au service de la société de façon générale ».
De son côté, le président de l’Association d’amitié algéro-chinoise, Ismail Debeche a mis en relief le référent historique et politique qui régit les relations algéro-chinoises, ce qui a contribué, a-t-il dit, à hisser ces relations « au niveau stratégique qu’elles ont atteint actuellement ».
Il a rappelé, dans ce contexte, le nombre considérable d’accords de coopération signés entre les deux pays, à l’occasion de la dernière visite d’Etat effectuée par le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, en République populaire de Chine.
Selon les organisateurs, ce colloque tend à faire la lumière sur « l’interaction entre les Etats africains et la Chine et les avantages qu’offre l’économie de ce pays » et « la relation entre les étudiants intéressés par les études dans ce pays sur le plan civilisationnel et économique et les enseignants chercheurs spécialisés ».