ANNABA / cybercriminalité Attention à la violation de la vie privée ! Des personnes souvent victimes de la malveillance des cybercriminels

La popularité des sites des réseaux sociaux comme Facebook et Twitter a explosé à travers le monde. Les gens adorent partager des idées et échanger des informations sur leur vie privée, mais malheureusement plusieurs usagers de la toile vont très loin jusqu’a violer la vie privée des autres. Les internautes doivent faire preuve de vigilance et d’attention aux données et aux commentaires personnels échangés dans Facebook ou Twitter, d’autant que ces réseaux sociaux peuvent être des vecteurs de la cybercriminalité, sachant que la vie privée des utilisateurs n’est pas à l’abri des cybercriminels qui peuvent en faire usage pour exercer des pressions, et des menaces prenant l’allure de chantages.

En effet, il a été constaté que dans plusieurs pages émises dans les réseaux sociaux, des internautes de mauvaise augure encourage cette violation de la vie privée d’autrui puisqu’ils publient des photos parfois même des vidéos des personnes dans la rue et les parcs ou même à la plage ce qui est dégradant et aberrant. Chacun a droit au respect de sa vie privée, puisque toute atteinte au droit à l’image doit constituer de ce fait une violation de la vie privée, surtout que l’autorisation de la personne est indispensable qu’elle soit une personne publique, une connaissance ou un membre de famille. Il en est de même pour la publication sur internet de photos montage ou truquées. Les données et les photos publiées sont accessibles à tout le monde, qui peuvent faire l’objet d’une utilisation malveillante et mauvais escient, dans la mesure où les réseaux sociaux peuvent être des vecteurs de la cybercriminalité et que des limites doivent s’imposer. Il faut savoir que les services de sécurité sont à pied d’œuvre contre la cybercriminalité, puisqu’ils incitent les utilisateurs à introduire des plaintes. C’est-à-dire que si quelqu’un détecte une quelconque menace mais qui n’est pas directement visé, il peut le signaler de façon anonyme via les différents réseaux sociaux de la DGSN (Facebook, twitter, mail). Par contre, quand il s’agit de la victime, il serait préférable qu’elle se dirige directement vers le poste de police. De sorte que sa plainte soit directement prise en charge et permettre aux services de la sécurité  d’engager des investigations pour une enquête très approfondie, à l’effet de protéger les victimes.

 

Imen.Boulmaiz

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