A Annaba comme partout ailleurs, le peuple Algérien s’apprête à célébrer le 62ème anniversaire de la libération du pays du joug colonial, le 05 juillet 2024 dans une conjoncture internationale difficile, marquée par l’horreur humaine commise par Israël en terre Palestinienne de Ghaza. En Algérie tous les carrés des martyrs essaimant le territoire national nous rappellent aujourd’hui les martyrs tombés au champ d’honneur pour leur juste cause. La semaine des films historiques de la révolution Algérienne inaugurée, samedi-soir, au TRA ‘’Azzedine Medjoubi’’ par les autorités locales et représentants des Moudjahidines retracent parfaitement les crimes commis par le colonialisme. Le 05 juillet est une date ardente dans l’histoire du peuple Algérien. Une page glorieuse du combat mené par nos valeureux chouhadas écrite par le sang de ses enfants qui avaient fait le serment de vivre libres. Une liberté d’ailleurs chèrement acquise. C’est d’ailleurs dans cette optique que les participants se sont exprimés à l’inauguration de ce rendez-vous cinématographiques en présence des autorités locales et élus, la directrice de la culture de la wilaya Saliha, le représentant des moudjahidines, les ayants droits, les scouts et autres invités pour dire que « la nouvelle génération qui prendra le flambeau ne doit nullement oublié que l’indépendance a été chèrement acquise car l’histoire retiendra que le colonialisme a commis les pires châtiments à ce peuple héroïque » diront -ils. La projection de ces films retrace les évocations actionnées par les tenants de l’histoire coloniale en Algérie. Les spectateurs estiment que notre jeunesse ne doit nullement oublier les crimes commis par le colonialisme à travers son parcours par le son et l’image et les récits. Cette manifestation cinématographique se poursuivra durant une semaine par la projection d’une série de films révolutionnaire entrant dans la série de la guerre d’Algérie.
Tayeb Zgaoula.