Annaba, la coquette ville de Sidi Brahim pavoisée aux couleurs nationales s’active ces derniers jours à célébrer avec faste le 70ème anniversaire du déclenchement de la révolution du 1er novembre 1954, bien que pour cette année, cette date historique intervient dans une conjoncture marquée par le génocide commis par l’état sioniste en terre de Palestine. Les festivités marquant cette date historique, chère à tous les Algériens débuteront par la levée des couleurs nationales sur le cours de la révolution, lieu mythique de toutes les manifestations. A cette occasion un riche programme a été minutieusement concocté par les différentes structures, conçu par les autorités locales, organisations des Moudjahidines, la famille révolutionnaire, les mouvements de coordination de la jeunesse et ligues pour la réussite de cet évènement historique oh ! Combien cher à tous les Algériens d’ici et d’outre-mer. Pour cet évènement historique patriotique d’un automne prometteur sous un soleil flamboyant d’une Algérie nouvelle qui avance dans les progrès tous azimuts à l’unification sous la présidence de Abdelmadjid Tebboune. Le cours de la révolution est reconnaissable de loin par ses immeubles restaurés et son port à ciel ouvert sur la méditerranée, ses arbres centenaires nous rappellent en passant les restrictions imposées par le passé par le colonialisateur nous offre aujourd’hui toute la quiétude recherchée sur fond d’un ciel bleu. Le tissu urbain est entrain de reprendre peu à peu son style recherché avec le nouveau wali Abdelkader Djellalou qui connait d’ailleurs bien la maison avec ses esplanades dans un style initial recherché. En un mot la mue continue pour la coquette ville de Sidi Brahim et sa stratégie pour un développement local socioéconomique. Tous azimuts. Elle vit cette semaine au rythme de cette fête historique.
Tayeb Zgaoula
